Alors qu’un tiers des Français termine chaque mois à découvert, une solution simple s’impose : louer plutôt que d’acheter. C’est le pari de Poppins, la nouvelle application de Lucie Basch (Too Good To Go), qui séduit déjà plus de 70 000 utilisateurs en France, dont près de 3 500 à Bordeaux. Objectif : transformer les placards qui débordent en source de revenus… et recréer du lien local.
Transformer tes objets inutilisés en revenus complémentaires
Tu as une tente de camping qui prend la poussière, une shampouineuse oubliée dans le garage ou un appareil photo que tu utilises trois fois dans l’année ? Ces objets peuvent rapporter. Sur Poppins, chaque location génère en moyenne 15 €. En louant simplement deux objets par semaine, tu peux toucher environ 130 € par mois. Une somme loin d’être négligeable quand beaucoup de foyers reconnaissent manquer de 300 € pour finir le mois. Tu peux également louer aux magasins partenaires autour de chez toi !


Un nouveau réflexe de consommation
Derrière ce modèle, il y a une tendance forte : 43 % des Français préfèrent désormais louer plutôt qu’acheter un objet dont ils auront un usage ponctuel. Bricolage, loisirs, organisation d’événements… Le réflexe est simple : pourquoi acheter quand ton voisin ou ton commerçant possède déjà ce dont tu as besoin ? Louer, c’est moins cher, plus écologique, et ça permet de rencontrer des gens autour de toi.
Bordeaux, terrain fertile pour le partage
Avec près de 3 500 Bordelais déjà inscrits, Poppins s’ancre dans une ville qui aime expérimenter de nouveaux modes de consommation. La présence de l’application a été mise en lumière lors du festival Climax, le 11 septembre, où Lucie Basch a rappelé que « réapprendre à consommer, ce n’est pas se priver, c’est posséder moins tout en profitant plus ».

Une communauté en mouvement
Au-delà de l’application, Poppins mise sur l’énergie locale pour faire grandir sa communauté. Un programme d’ambassadeurs vient d’être lancé à Bordeaux. Leur rôle ? Animer des événements, fédérer les utilisateurs et donner de la visibilité à ce nouveau mode de consommation. Une mission rémunérée, pensée pour des habitants qui veulent incarner ce changement au quotidien.
Plus qu’un revenu, une philosophie
Bien sûr, l’argument économique attire : la moitié des utilisateurs le font pour compléter leur budget. Mais Poppins veut aller plus loin. 45 % y voient une façon de rendre service, et 40 % un geste pour la planète. Derrière chaque perceuse, tente ou vélo cargo partagé, il y a une nouvelle manière de consommer : plus collective, plus maligne, plus durable. Et en plus, beaucoup de produits sont gratuits, car derrière l’échange c’est la valeur du partage qui prime.

Un futur où le partage est la norme
Avec déjà 60 000 utilisateurs et plus de 30 000 objets référencés en France, Poppins montre qu’un autre modèle est possible. À Bordeaux, l’application ne veut pas seulement s’implanter : elle veut faire rayonner le partage et prouver qu’on est tous plus riches qu’on ne le pense… si on apprend à partager.
On télécharge ?
📍Sur Bordeaux
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