Depuis septembre 2023, Bordeaux teste un dispositif innovant : la Sécurité Sociale de l’Alimentation (SSA). 150 étudiants sont les premiers bénéficiaires de ce programme qui vise à garantir l’accès à une alimentation de qualité pour tous, en s’inspirant du modèle de la Sécurité Sociale.
Concrètement, les étudiants cotisent 20 € par mois et reçoivent en échange 100 € en « Gemme », une monnaie locale. Cette monnaie peut être utilisée dans les magasins partenaires de la SSA, qui sont des commerces bio, responsables et locaux.
L’objectif de la SSA est multiple :
- Lutter contre la précarité alimentaire, qui touche 36% des étudiants selon les chiffres.
- Favoriser une alimentation plus saine et plus durable, en encourageant l’achat de produits locaux et bio.
- Soutenir l’économie locale, en redynamisant les commerces de proximité.
Les premiers résultats de l’expérimentation sont encourageants. Les étudiants participants ont pu améliorer la qualité de leur alimentation et découvrir de nouveaux produits locaux. La SSA est un projet ambitieux qui pourrait être déployé à plus grande échelle à l’avenir. D’autres villes s’intéressent déjà à ce dispositif, et des discussions sont en cours pour le pérenniser et l’étendre à d’autres catégories de population.
Voici quelques points clés à retenir de cet article :
- La SSA est une initiative unique en France qui s’inspire du modèle de la Sécurité Sociale.
- 150 étudiants bénéficient de ce programme à Bordeaux.
- L’objectif est de lutter contre la précarité alimentaire, de favoriser une alimentation durable et de soutenir l’économie locale.
- Les premiers résultats de l’expérimentation sont encourageants.
- La SSA pourrait être déployée à plus grande échelle à l’avenir.
Cet article met en lumière un sujet crucial : l’accès à une alimentation saine et durable pour tous. La SSA est une solution prometteuse pour répondre à ce défi, et son développement est à suivre de près. A voir si les résultats seront concluants et le processus finalement pérennisé.
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Merci pour cet article mais son titre est inexact et induit une confusion : ce n’est pas la ville de Bordeaux qui porte cette expérimentation pour 150 étudiants des campus bordelais mais les associations CREPAQ et La Gemme